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 Anya-Suki Hoeper

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AuteurMessage
Sugar Slaughter

Sugar Slaughter
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Anya-Suki Hoeper _
MessageSujet: Anya-Suki Hoeper   Anya-Suki Hoeper EmptyLun 9 Mar - 12:08

J'ai essayé de me suicider du haut de mon ego.
J'ai pas encore atterri.


« Tu n'as pas besoin de tout savoir sur tout le monde. » « Ni de regarder Newport Beach mais ça me rend heureuse. » Une fouine, j'ai toujours été une fouine. Alors que je n'avais qu'une dizaine d'année il fallait toujours que je me mêle de ce qui ne me regarde pas. Bien entendu à chaque fois ça m'apportait des ennuis, mais c'était plus fort que moi j'y retournais la tête la première. Je suis née à Hong Kong en Chine j'y ai vécu de longues années, plus précisément jusqu'à mes dix-huit ans. J'ai eu une famille aimante, j'étais enfant unique. Mon père faisait de la politique et ma mère était femme au foyer enfin en théorie en pratique elle n'était pas souvent. Pourtant, malgré tout je les aimais. Sans doute parce qu'ils ne m'ont jamais interdit quoique ce soit ou quelque chose dans le genre. Contrairement à beaucoup d'enfants, du moins une majorité, je ne les déteste pas, je ne les ai jamais détestés en fait. Enfin pour détester quelqu'un il faut le voir d'abords ... Peut-être que je ne les apprécie pas tant que ça finalement ... Je ne sais pas trop, je ne me souviens pas trop d'eux. Vous vous demandez: "Quoi elle ne se souvient pas de ses parents ?" Laissez-moi vous raconter depuis le début.

« Vous promettez de ne pas mentir ? » « Moi ? Je ne ment pas, je ne suis pas politicienne. » Ce jour-là je venais de faire un tour au poste de police. Ils pensaient que j'étais une sans papier, alors que je n'étais qu'une étudiante étrangère. Quel galère j'ai bien dû passer une bonne heure à leur expliquer ma situation, mais j'avais l'impression de parler à des truites larguées. Finalement j'ai réussi à m'en sortir, ils ont surtout fini par comprendre. Ne jamais perdre espoir. Je rejoignais donc mon université dans laquelle j'avais entamé ma première année en informatique. J'ai toujours adoré l'informatique, toute petite je préférais créer des robots que jouer avec mes barbies. Je n'étais pourtant pas garçon manqué, mais j'avais des standards différents de ceux des enfants de mon âge. On m'avait alors calculé un QI supérieur à la moyenne, ainsi j'ai pu obtenir une place à l'université nationale de simstate. C'est ainsi que commença mon aventure. Je me suis très vite rapproché des autres étudiants, je n'aime pas être seule. « N'importe quoi. J'étais pas ivre hier soir ! » « Alors, tu pourras sans doute m'expliquer ce que tu foutais dans ma cheminée en train de hurler "chemin de travers" ? » « ... bah non je peux pas. » Ainsi aller la vie, aussi insouciante que j'étais. Cependant, la réalité ma rattrapa.

J'avais rencontré un garçon sur le campus, un étudiant étranger lui aussi. Il m'avait proposé de gagner de l'argent facilement. Il m'expliqua que je n'avais qu'à pirater des dossiers, un jeu d'enfant pour moi sans aucune prétention bien entendu. Ce type était toujours froid et distant et je suis certaine que s'il pouvait tuer tout le monde sur son passage il le ferait. Pour je ne sais quelle raison, j'ai accepté. Ainsi je me suis retrouvé embarqué avec la mafia ou du moins une organisation qui y ressemble. Ils ne m'ont jamais dit qui ils étaient réellement et moins je posais de question et plus mon chèque était important. Oui, mais voilà il y avait toujours ce type, l'espèce de tueur au regard revolver. Il me surveillait sans arrêt, comme-ci j'allais les trahir et aller voir la police ! D'ailleurs il m'avait déjà pris à part pour m'expliquer que si je faisais un pas de travers il me tuait. Au moins ça avait le mérite d'être clair. Puis, que voulez-vous que je fasse face à lui, je fais vingt kilos mouiller et un mètre sur un tabouret, les bras levés. Enfin j'extrapole peut-être un peu. Arriva alors le jour fatidique.

Ce jour-là je rentrais d'une soirée bien arrosé. J'avais promis d'arrêter la dernière fois que j'avais fini dans un jardin sur une botte de foin, mais c'était l'anniverssaire de Bibi donc vous comprenez. Je n'ai aucun souvenir de ce qu'il s'était passé. Je me rappelle avoir été dans une voiture avec un étranger rencontré lors de cette fameuse soirée. J'étais au volant et d'un coup j'ai perdu le contrôle et je me suis réveillé à l'hôpital. Je me souvenais plus de ce qui s'était passé et je ne savais même plus comment je m'appelais. Au bout de quelque tueur le tueur était venu me chercher. D'ailleurs je l'appelais le tueur tout le temps, c'était devenu son surnom, même s'il faisait peur à beaucoup de personnes je n'avais pas peur de lui, du moins pas tout le temps. Je ne sais pas pourquoi, mais je l'avais reconnu dès qu'il était arrivé, je ne me souvenais pas de mon propre nom, mais de lui oui. Je fais pitié. « Bouges tes fesses on y va. » « Oui merci ça va. Tu veux quoi ? » « Je te ramène chez toi. » « ... j'ai besoin de personne. » « Arrête ça se voit que t'es pas en état de conduire ou même marcher. » « Ha ouais et tu vois ça comment Sherlock ? Vas-y éclair moi ! » « Essaye d'ouvrir les yeux pour voir ? » « RACISTE ! » Ainsi j'étais reparti avec lui, il me raconta les grandes lignes de ma vie, en gros mon âge et où je suis née. Il y mettait vraiment pas du siens ! Cependant, mon aventure ne se termine pas là, non ça serait trop simple. Par chance je n'avais pas perdu mes facultés intellectuels, j'avais de la chance dans mon malheur. Du coup l'organisation pour laquelle je travaille avait décidé de me protéger en assignant le tueur à ma protection. Je m'en serais bien passé. Ha oui accessoirement je devais vivre avec lui et faire croire qu'on était en couple, c'était mieux pour notre couverture ils disaient. J'aurais jamais dû accepter ce boulot surtout que le tueur n'était absolument pas amical avec moi. A chaque fois que j'essayais de m'enfuir et dormir à l'université il venait toujours me chercher avec son tact légendaire. J'aurais vraiment pas dû accepter ce boulot, maintenant je me retrouve à la botte d'un type, je sers de toutou, de couverture et je dois obéir et rien dire ! Fuck my life.

Au même moment je commençais à remarquer quelque chose de bizarre chez moi, je ne supportais plus la lumière et j'avais des pulsions bizarres. Tout ça avait commencé depuis mon accident. Je me retrouvais dans des situations gênante, honnêtement je n'y comprenais rien. Alors, je ne sortais plus que le soir, si ça continue je vais vraiment rater mes études et ma vie sociale se résumera à une personne.
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Anya-Suki Hoeper

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